Zettō Ame no Habakiri (絶刀・天羽々斬 "Ame no Habakiri, la lame ultime") est une chanson de personnage de Tsubasa Kazanari, présente dans Senki Zesshō Symphogear et Senki Zesshō Symphogear G. Elle est sortie le 14 mars 2012 au sein du troisième album de chansons de personnages S1.
(Ya-haiya, un son qui résonne de façon oppressante)
(Ya-haiya, nous marchons vers l'absurdité)
(Ya-heiya-heiya-heiya-ei, la force ne reviendra pas)
(Ya-heiya-heiya-heiya-ei, Ame no Habakiri, yae)
Une lame qui coupe comme un vent soudain est aussi belle que mille fleurs.
Une lune éclatante scintille au soleil ; tristesse, retour au pays pur... pour l'éternité.
Dans un champ de bataille pleurant de lamentation, j'essuie des larmes d'ennui.
Je mets mes souvenirs et ma fierté dans chaque coup de tonnerre.
Venez voir la flamme qui brûle sans pitié ; tombez et périssez au vent de Kagura.
Le brillant pangramme traverse l'obscurité, allons de l'avant dans notre couleur.
Notre ferme détermination... donne à nos âmes le courage de résister.
Le lien qui nous unit est l'ultime épée brillante...
Sans se plaindre ? Non, le monde éclabousse vers la fin
"Je me débats, pris dans la foudre" ; c'est mon destin d'effacer.
Pour surmonter mon hésitation, je retourne aux sons de ma musique... c'est la seule chose que je connais.
Je pensais que si je devenais plus fort, beaucoup plus fort... je pourrais un jour me libérer du passé tragique que le destin m'a laissé.
Pourquoi... pourquoi... pourquoi ? Même si je n'ai pas besoin de choses comme les larmes...
Jaillissez ! Jusqu'à ce que cette vie s'éteigne, jusqu'à ce que le rêve que nous avons vu ensemble devienne réalité.
Ne pas être capable de retourner aux jours où nous jouions de la musique ensemble, c'est comme la sanction d'un démon du feu.
"Très bien, volons" tu as dit... même si je suis accablé de plumes trempées dans des vagues déferlantes, ma conviction me fera danser dans le ciel.
Pour s'en assurer, nous n'avons pas besoin d'être au même endroit... c'est pour ça.
S'amuser est fatiguant ? Non, j'aurai une fin sanglante et je disparaîtrai.
La mélodie fugace dans ma mémoire, se balançant doucement, toujours aussi parfumée.
En regardant les étoiles, je fais le voeu de ne plus courir... de ne plus pleurer.
Ah... les deux ailes du ciel, maintenant, allez... libérez tout.
Viens voir la flamme qui brûle sans pitié ; tombe et péris au vent de Kagura.
Le brillant pangramme traverse l'obscurité, allons de l'avant dans notre couleur.
Notre ferme détermination donne à nos âmes le courage de résister.
Le lien qui nous unit est l'ultime épée brillante...
Sans se plaindre ? Non, le monde éclabousse vers la fin